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  • ENTRÉE

    Puis elle me tendis un doux baiser d’où je pu sentir une larme coulait sur mon front.Pleurait-elle ? Ce sentait-elle aussi mal que moi ? Aussi vite qu’elle était venue,elle repartie en prenant le soin de fermer la porte pour que je ne sois pas incommoder du bruit.Ce soir-là semblais ne jamais se terminer mais j’étais loin de me douter que ce n’étais que le début. Le lendemain après une journée éreintante,ma mère m’avait ordonné de mettre une jolie toilette car nous allions dîner chez un jeune-homme fort sympathique d’après ses dires.Après avoir traversé la moitié de la ville nous arrivions devant une grande maison,aux volets rouge et dont la porte en bois semblait indestructible.Une femme d’une quarantaine d’année,les cheveux noir attachés en chignon,le teint blanc comme la porcelaine,les yeux d’un marron clair mis en valeur par une simple paire de perles et une robe mousseline,nous accueillit.Son sourire si amicalement mit rapidement à l’aise ma mère et son petit-ami.Peut-être parce que ce n’étaient pas eux qu’on allé fiancer. Le père était assis dans le fauteuil en cuir du salon masqué par son journal dont seul la pipe qu’il fumait dépassé de temps à autre.La maison était décoré avec goût et l’odeur dégagé par le repas dans la cuisine me donnait presque envie de rester ici pour toujours. Le fils qu’on m’avait décrit pendant presque deux heures avait enfin fait son entrée après vingt minutes de conversation assise dans le canapé.A ce moment là, Keith avait déjà allumé une cigarette et ma mère en était déjà à son deuxième verre d’alcool.

    SORTIE

    Ensuite, elle m'a offert un doux baiser auquel j'ai pu sentir une larme couler sur mon front. Pleurait-elle aussi ? Était-elle aussi bouleversée que moi ? Rapidement, elle est partie, prenant soin de fermer la porte pour que je ne sois pas dérangé par le bruit. Cette nuit-là semblait interminable, mais je ne savais pas encore que ce n'était que le début.

    Le lendemain, après une journée épuisante, ma mère m'a ordonné de mettre une belle robe car nous allions dîner chez un jeune homme très sympathique, selon ses dires. Après avoir traversé la moitié de la ville, nous sommes arrivés devant une grande maison aux volets rouges et à la porte en bois apparemment indestructible. Une femme d'une quarantaine d'années, les cheveux noirs attachés en chignon, le teint aussi blanc que la porcelaine, les yeux d'un brun clair mis en valeur par une simple paire de perles et une robe en mousseline, nous a accueillis. Son sourire chaleureux a rapidement mis à l'aise ma mère et son compagnon. Peut-être parce qu'ils n'étaient pas ceux qui allaient se fiancer.

    Le père était assis dans un fauteuil en cuir dans le salon, caché derrière son journal, seule sa pipe dépassant de temps en temps. La maison était décorée avec goût et l'odeur du repas qui émanait de la cuisine me donnait presque envie de rester ici pour toujours.

    Le fils dont on m'avait parlé pendant près de deux heures a finalement fait son entrée après vingt minutes de conversation assis sur le canapé. À ce moment-là, Keith avait déjà allumé une cigarette et ma mère avait déjà entamé son deuxième verre d'alcool.

  • ENTRÉE

    Le lendemain ne fut finalement pas comme je le pensais, les Dupont avaient gardé leurs langues dans leurs poches à mon plus grand bonheur.Pour autant, je me sentais honteuse.Alain, leur fils, avait seulement un an de plus que moi et ironie du sort ou non je le voyais tous les jours au lycée.Même si notre avenir ne déboucheraient pas sur un mariage commun, je ne pouvais m’empêcher de rougir et de baisser la tête à chaque fois que je l’apercevais. Jeanne avait entendu parlait de «l’affaire Dupont» comme elle aimait le dire et ne cessais de me questionnais.Comment est-il ?Qu’avez vous mangeaient ? Comment sont ses parents ?Qu’on fait tes parents ? Étonnamment l’enthousiasme de celle-ci ne me contrariait pas.J’aimais presque le fait que l’attention soit centrée sur moi.Après tout il n’y avait rien de honteux à briller de temps en temps.En revanche lorsque Alain vint me parler l’humiliation revint en moi.J’avais fini ma journée habituelle et je me dirigeais vers le local à bicyclette, quand ce géant vint m’intercepter. Mon rythme cardiaque se mit a accélérer, j’avais peur des mots qu’il allait prononcer. -Écoute Dana, après notre souper hier j’aimerais bien rencontrer la fille qui se cache derrière tous ce qu’on a pu me dire auparavant.

    SORTIE

    Le lendemain se révéla être bien différent de ce à quoi je m'attendais : les Dupont semblaient avoir gardé le silence, ce qui était pour moi un soulagement inattendu. Cependant, une certaine gêne m'envahissait. Alain, leur fils, n'avait qu'un an de plus que moi et je le croisais tous les jours au lycée, ironie du sort. Même si nos destins ne semblaient pas se diriger vers un mariage commun, je ne pouvais m'empêcher de rougir et de baisser la tête dès qu'il apparaissait.

    Jeanne avait eu vent de "l'affaire Dupont", comme elle l'appelait, et ne cessait de me poser des questions. "Comment est-il ? Qu'avez-vous mangé ? Comment sont ses parents ? Que font tes parents ?" Étrangement, l'enthousiasme de Jeanne ne me dérangeait pas. J'appréciais presque que l'attention soit portée sur moi. Après tout, il n'y avait rien de mal à briller de temps en temps. Cependant, lorsque Alain vint me parler, l'humiliation refit surface. Après ma journée habituelle, alors que je me dirigeais vers le local à vélo, ce géant vint m'intercepter. Mon cœur s'emballa, redoutant les mots qu'il allait prononcer.

    "Écoute, Dana, après notre dîner d'hier, j'aimerais bien rencontrer la fille qui se cache derrière tout ce dont on m'a parlé auparavant."

  • ENTRÉE

    Je rêve où bien le fils des Dupont vient de m’inviter à sortir ?! Je reste de marbre et décroche un simplement : -Avec plaisir. Puis je monta sur ma selle et partie comme si de rien n’était. Honnêtement personne ne m’avait jamais regardais ainsi auparavant.J’étais disons une de ces filles qu’on ne voit pas, à qui on ne parle pas et dont on ne dit rien, mis à part le fait que mon amie Jeanne est très jolie.Alors quand pour la première fois, je suis autre chose que l’enfant d’une veuve avec un penchant pour la boissons, on se sens unique.

    SORTIE

    Je me surprends à rêver, ou est-ce réellement le fils des Dupont qui vient de m'inviter à sortir ?! Je reste impassible et réponds simplement :

    • Avec plaisir.
      Je monte alors en selle et m'en vais comme si de rien n'était. Personne ne m'avait jamais regardée de cette manière auparavant. J'étais, pour ainsi dire, l'une de ces filles qu'on ne remarque pas, à qui l'on ne parle pas, dont on ne dit rien, si ce n'est que mon amie Jeanne est très jolie. Alors, lorsque pour la première fois, je deviens autre chose que l'enfant d'une veuve adepte de la boisson, je me sens unique.

  • ENTRÉE

    Mon rendez-vous avec ce dernier eu lieu quelques jours plus tard, j’avais mis une jupe à poids et un t-shirt unie ainsi que mes ballerines.J’avais pris soin d’attacher un foulard dans mes cheveux en guise de cerf-tête et j’avais marchais jusqu’à l’étang.Là-bas seul les pêcheurs élisaient domicile pendant des heures.Alain en faisait partit à mon plus grand étonnement.Il n’était absolument pas apprêté,seule un vieux pantalon et une chemise verte à carreaux l’habillait et au sommet de son crâne, se trouvait un bob, qui je dois le dire ne le mettais pas en valeur.Quand celui-ci me vit une cane à pêche à la main il se tourna de profil et me souris en secouant sa main libre, m’invitant à le rejoindre.Arrivée à sa distance, je pris le soin d’ôter mes ballerines et de les porter à la main, plongeant mes orteils dans la nappe d’eau.D’un air benêt il se mit à me fixer et à sourire niaisement. -Je sais que ce n’est sûrement pas le genre de rendez-vous auxquelles tu t’ attendez mais j’adore la pêche. Depuis que je suis petit je viens à l’étang flairer un poisson,dans l’espoir de battre mon record.J’aime bien, tu comprends ça me permet de me vider la tête, loin de toute cette pression.Le bac quelle plaie ! -Quand je t’ai dis que j’aimais manger frais je ne pensais pas que tu obéirais au pied de la lettre.Confiais-je avec un grand sourire. Il me sourit en retour.

    SORTIE

    Mon rendez-vous avec Alain eut lieu quelques jours plus tard. J'avais opté pour une tenue élégante, une jupe à pois assortie à un t-shirt uni, complétée par mes ballerines. Un foulard dans mes cheveux servait de cerf-tête, ajoutant une touche de charme à ma mise en beauté. Je me suis dirigée vers l'étang, où seuls les pêcheurs semblaient trouver refuge pendant des heures. À ma grande surprise, Alain en faisait partie. Vêtu simplement d'un vieux pantalon et d'une chemise verte à carreaux, coiffé d'un bob peu flatteur, il m'accueillit chaleureusement en agitant sa main libre. Lorsque je m'approchai, je pris soin d'enlever mes ballerines pour tremper mes pieds dans l'eau. Son regard attendri et son sourire niais ne firent que renforcer mon intérêt pour cet homme singulier.

    "Je sais que ce rendez-vous ne correspond peut-être pas à tes attentes, mais j'adore la pêche," avoua Alain timidement. "Depuis mon enfance, je viens ici pour tenter de battre mon record de pêche. C'est un moment de détente loin de toute pression, loin du stress du quotidien. Le bac, quelle corvée!"

    Je ne pus m'empêcher de sourire en lui rappelant, taquine : "Quand je t'ai dit que j'aimais manger frais, je ne pensais pas que tu prendrais cela si littéralement." Son sourire en retour me fit chaud au cœur, scellant notre connexion naissante dans ce décor bucolique.

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