Jiren
L'amour des ninjas
Chapitre 1 : Une rencontre inattendue
Dans un petit village niché entre les montagnes verdoyantes du pays de la Terre, vivaient deux ninjas au tempérament bien différent. Jiren était un guerrier taciturne, aux yeux sombres comme la nuit, et à la réputation de ne jamais sourire. Ses techniques de combat étaient redoutables, et sa concentration, inébranlable. En revanche, sa coéquipière, Temari, était tout l'inverse. Énergique et pleine d'esprit, elle avait le sourire facile et une voix qui avait le don d’adoucir même les cœurs les plus durs.
Leur équipe était souvent mise à l’épreuve, mais leur dynamique restait légère, même face au danger. Temari aimait taquiner Jiren sur son sérieux, tandis que Jiren, d’un ton nonchalant, la laissait faire, sans jamais vraiment se défendre. Leur relation était un mélange intéressant d'amitié et d'affection silencieuse, mais sans aucune pression romantique.
Chapitre 2 : Un paysage enchanteur
Leurs missions les conduisaient souvent dans des lieux pittoresques. Ce jour-là, ils s'étaient retrouvés dans une vallée où les cerisiers en fleurs créaient une mer de pétales rose pâle. Le vent léger apportait avec lui le parfum délicat des fleurs, et les rayons du soleil filtraient à travers les branches, dessinant des ombres dansantes sur le sol.
Alors qu'ils prenaient une pause, Temari s'étira, profitant de ce moment de répit. "Regarde, Jiren, comme c'est beau ici ! Ça donne envie de se battre pour défendre cet endroit." Elle éclata de rire, ses yeux pétillants de joie. Jiren, les bras croisés derrière sa tête, laissa échapper un soupir, un léger sourire se frayant un chemin sur ses lèvres.
"Tu ne peux pas être sérieuse. La beauté de cet endroit ne fait pas de nous des ninjas moins efficaces," répondit-il avec un air de dédain amusé. Temari se mit à sauter parmi les cerisiers, faisant virevolter les pétales. Elle ressentait un tressautement à l'intérieur, un sentiment qu'elle n'avait jamais vraiment exploré.
Chapitre 3 : Un tournant inattendu
Mais la tranquillité ne dura pas. Un groupe de ninjas rivaux menaça l'équilibre de leur région. Lors d'une confrontation, Jiren et Temari se retrouvèrent séparés du reste de leur équipe. C'était un combat intense, où chaque geste comptait. Jiren, dans un élan de bravoure, se retrouva face à un adversaire redoutable, tandis que Temari s'attaquait à un autre ennemi.
Après une lutte acharnée, un bruit sourd résonna. Temari tourna la tête juste à temps pour voir Jiren tomber au sol. Une vague de terreur l’envahit, la faisant bondir vers lui. "Jiren !"
Mais il était rapide, se relevant avec l’expertise d’un vrai ninja. "Rien de cassé, juste un petit coup." Cependant, la frayeur dans son regard ne lui avait pas échappé. Ils avaient compris ensemble que ce qu'ils ressentaient n'était pas simplement de l'amitié.
Chapitre 4 : Éclaircissement des sentiments
De retour dans leur village, une tension flottait dans l'air. Jiren, habituellement si stoïque, se sentait vulnérable. "Temari, je…" commença-t-il, mais les mots restèrent bloqués dans sa gorge. Temari, de son côté, ne savait pas comment exprimer ce qui avait changé en elle.
Dans une soirée étoilée, alors qu’ils prenaient un moment pour se retrouver sous les cerisiers, elle entreprit de briser le silence. "Tu sais, Jiren, je n'ai jamais eu peur avant. Mais te voir blessé m'a fait réaliser combien je tiens à toi."
Jiren, surpris, la regarda avec intensité. "Je ressens la même chose... Je pensais que rester distant serait plus facile." Un léger sourire s'épanouit sur son visage, brisant son habituel sérieux.
Chapitre 5 : L'union des cœurs
Finalement, les barrières étaient tombées. Dans un élan de tendresse, Jiren prit la main de Temari, son regard brûlant d’émotion. "Alors, faisons de cette vie de ninja quelque chose de plus qu'une simple mission."
Temporairement, ils oublièrent les menaces extérieures, se concentrant sur le lien qui les unissait désormais. Sous les cerisiers en fleurs, ils échangèrent leur premier baiser, scellant ainsi leur promesse de se protéger, l'un l'autre, quoi qu'il advienne.
Le vent frais emportait les pétales, comme les promesses d'un avenir partagé, où l'amour pouvait fleurir au milieu des batailles.