Générateur de sonnets

Dans l'ombre douce où l'amour s'éveille,
Un sonnet chante aux cœurs en émoi,
Les étoiles dansent, une lueur pareille,
À des âmes perdues cherchant leur voie.

Tes yeux sont des lacs où les rêves nagent,
Reflets d'un monde où le temps se suspend,
Chaque murmure d'amour est un hommage,
À la beauté fragile qu'en toi je rends.

Mais l'amour, comme un vent, peut se dérober,
S’évanouir doux, comme un souffle d'ailes,
Pourtant, même dans l'ombre, je ne peux oublier,

Ces promesses tissées de tendres querelles,
Où chaque instant, telle une précieuse pierre,
Rappelle que l'amour, c'est une lumière.

Sur le rivage où le ciel et l’eau s’embrassent,
Un garçon s’éveille aux doux chants de la mer,
Ses pieds nus dans le sable, son cœur comme une chasse,
Il rêve d’un monde aux horizons sincères.

Les vagues murmurent des secrets d’antan,
Tels des amants perdus dans l’infini,
Il sculpte des châteaux, des rêves flottants,
Chaque grain de sable un récit de magie.

Le soleil, tel un roi, illumine son être,
Ses rires s’envolent comme des oiseaux,
Dans la danse des flots, il trouve l’astre.

Mais le temps s’écoule, telle une ombre en écho,
Et le garçon, un jour, devra s’en aller,
L’âme de la plage, à jamais, l’aura aimé.

Dans le théâtre où la vie se déploie,
Elsa, en ce jour, rayonne, éclat pur,
Le temps suspend son vol, comme une proie,
Pour célébrer ta grâce et ton futur.

Avec le prof' souriant à nos côtés,
Les rires s'élèvent, une douce mélodie,
Les souvenirs tissés en fil doré,
Portent nos cœurs, vibrants de symphonie.

Les lumières dansent, créant des reflets,
Chaque instant précieux, telle une étoile,
Se grave en nous, comme un doux secret.

En ce jour d'anniversaire, tout dévoile,
La joie, amour, et douce harmonie,
Elsa, notre muse, toujours en bonne humeur, unie.

À cause de toi, l'amour est devenu,
Ma faiblesse, un fardeau lourd à porter,
Tellement de tristesse dans le cœur,
Qu'il a pris la plume pour pleurer.

Chaque rire doux, un écho des cieux,
Se change en larmes, un flot de regrets,
Les souvenirs dansent, ombres des lieux,
Où nos rêves, un jour, s’épanouissaient.

L’amour, ce feu, qui brûle et dévore,
Est devenu un poète aux vers amers,
Écrivant les douleurs qu'il déplore,
Sur des pages noires, pleines d'univers.

Ainsi, la beauté s'estompe en silence,
Dans le creux de la nuit, je cherche l'absence.